En voyant arriver Stéphane, on se dit : mais quelle motivation le pousse à faire ça, à torturer ainsi son corps et son esprit ?
Il n'est pas question de gagner, de médaille, de compétition mais de Générosité.
Qui aurait l'idée de s'imposer un tel calvaire : 48 heures de vélo, nuit et jour.
L'engagement est total et la cause est tellement belle et juste.
Bravo Stéphane et un grand merci à tous les bénévoles.